L’Amant, Marguerite Duras
En 1984 paraît L’Amant, un récit autobiographique signé Marguerite Duras, couronné la même année par le prix Goncourt. Avec ce livre, qui connaît un succès mondial, Duras devient l’un des écrivains vivants les plus lus. Vendu à 2 400 000 exemplaires, L’Amant inspire au producteur Claude Berri un projet de film. En 1988, à sa demande, Duras s’attelle à l’écriture du scénario. Mais elle doit s’interrompre, hospitalisée dans un état grave qui la plonge dans le coma six mois durant. Pendant ce temps, Claude Berri contacte le réalisateur Jean-Jacques Annaud, qui accepte de continuer l’adaptation du roman et de le réaliser. À sa sortie de l’hôpital, à l’automne 1989, Marguerite Duras rencontre le cinéaste et se remet au travail. Leur collaboration tourne court, le film se fera sans elle. À la veille de la sortie du film en salles, en 1992, de peur d’être dépossédé de son œuvre, elle publie L’Amant de la Chine du Nord, une réécriture de son récit initial.
En 1984 paraît L’Amant, un récit autobiographique signé Marguerite Duras, couronné la même année par le prix Goncourt. Avec ce livre, qui connaît un succès mondial, Duras devient l’un des écrivains vivants les plus lus. Vendu à 2 400 000 exemplaires, L’Amant inspire au producteur Claude Berri un projet de film. En 1988, à sa demande, Duras s’attelle à l’écriture du scénario. Mais elle doit s’interrompre, hospitalisée dans un état grave qui la plonge dans le coma six mois durant. Pendant ce temps, Claude Berri contacte le réalisateur Jean-Jacques Annaud, qui accepte de continuer l’adaptation du roman et de le réaliser. À sa sortie de l’hôpital, à l’automne 1989, Marguerite Duras rencontre le cinéaste et se remet au travail. Leur collaboration tourne court, le film se fera sans elle. À la veille de la sortie du film en salles, en 1992, de peur d’être dépossédé de son œuvre, elle publie L’Amant de la Chine du Nord, une réécriture de son récit initial.